lundi 28 novembre 2011

DR TASSERY HERVE 14 decembre 2011






          

    Professeur des Universités
    Praticien Hospitalier des CSERD




    • Sujet : Nouveaux outils de diagnostic et traitement en dentisterie restauratrice : apport de la fluorescence.
       

    • le conseil d'administration de l'ACDRA vous rappelle que:
    le cout de la participation aux soirées est de 35 euros.(avec ou sans repas)
     - une attestation de crédit formation CNFCO de 10 points vous sera remise pour les formations validantes.




    • Lieu :  Moulin de Gemenos ,
                                                     20h00  ,   apéritif de bienvenue
                                                       
                                                      20h30,    début de la conférence  , suivi des questions 
                                                  
                                                                     21h30 ,    repas


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      jeudi 27 octobre 2011

      DR JEAN LUC GIRARD , LE 16 NOVEMBRE 2011


      • Conférencier : Dr Jean Luc GIRARD

              

        Attaché Hospitalo-universitaire, Faculté d'Odontologie de Marseille, Université de la Méditerranée
        Chargé de cours au Certificat d’Aptitude à l’Utilisation des  Rayonnements Laser , Université de Paris Garancière. 


        • Sujet : Quels lasers pour quels effets en Omni pratique dentaire :



          La miniaturisation technologique et plus de 20 ans d’évolution spécifique pour la dentisterie ont permis au  Laser  de se démocratiser.
          S’il n’y est déjà, le Laser arrive dans votre cabinet.
          Que peut-on faire de plus ou de mieux avec un laser dans une activité
          d’omnipratique ou spécialisée ?


          Programme :

          Fonctionnement des rayonnements lasers et       interaction des différents lasers sur les tissus de la cavité buccale.

          Quels lasers pour quels effets en Omni pratique dentaire :

          Traitement des caries
          Traitement endodontique
          Traitement prothétique
          Traitement cosmétique
          Traitement parodontal
          Traitements Orthodontiques
          Chirurgie des tissus mous
          Reconstruction osseuse  pré-implantaires

                 

        • le conseil d'administration de l'ACDRA vous rappelle que:
        le cout de la participation aux soirées est de 35 euros.(avec ou sans repas)
         - une attestation de crédit formation CNFCO de 10 points vous sera remise pour les formations validantes.




        • Lieu :  Moulin de Gemenos ,
                                                         20h00  ,   apéritif de bienvenue
                                                           
                                                          20h30,    début de la conférence  , suivi des questions 
                                                      
                                                                         21h30 ,    repas


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          samedi 24 septembre 2011

          GERARD DE BRUYKER 12 OCTOBRE 2011



          • Conférencier :MR GERARD DE BRUYKER




            • Sujet : les SELARL ou Sociétés d'exercice libéral : pourquoi elles sont toujours intéressantes
            En France il existe 40 000 SELARL sur 280 000 professionnels libéraux et le rythme s'accélère: il y a des raisons à cette augmentation.

            Notre conférencier, Gérard De Bruyker, du haut de ses 12 ans d'expérience dans la création de sociétés d'exercice libéral,
            viendra vous montrer que la SELARL est toujours la solution face à l'augmentation des charges et des impôts et vous dire tout ce qu'il faut savoir pour en tirer tous les avantages:
            - comment gérer mieux votre situation professionnelle
            - valoriser votre clientèle actuelle
            - réduire votre fiscalité personnelle
            - mieux préparer votre retraite



            • le conseil d'administration de l'ACDRA vous rappelle que:
             le cout de la participation aux soirées est de 35 euros.(avec ou sans repas)



            • Lieu :  Moulin de Gemenos ,
                                                             20h00  ,   apéritif de bienvenue
                                                               
                                                              20h30,    début de la conférence  , suivi des questions 
                                                          
                                                                              21h30 ,    repas


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              mercredi 21 septembre 2011

              LA SOIREE DU 21 SEPTEMBRE

              un sujet qui passionnât l' assistance



              à l'origine de nombreuses questions

              et de débats animés




              le tout finissant autour d'une bonne table

              mercredi 7 septembre 2011

              DR LE GALL Michel 21 Septembre 2011


              • Conférencier : DR LE GALL MICHEL

                Maître de Conférences des Universités.
                Praticien Hospitalier des CSERD











                • Sujet : Approche par l'omnipraticien de l'orthodontie précoce
                  Nous voyons tous dans nos cabinets des enfants très jeunes ayant des ayant des problèmes d'orthodontie (dysmorphoses,encombrements,..)
                  les omnipraticiens que nous sommes se posent des questions :
                  - est il mieux d'intervenir précocement ou d'attendre ?
                  - quels sont les traitements précoces possibles?
                  - quels cas peut on traiter précocement?

                  Le docteur michel legall , maitre de conférence des universités, viendra nous parler de ce sujet le mercredi 21 septembre 2011 pour la reprise de nos soirées amicales et conviviales



                  le conseil d'administration de l'ACDRA vous rappelle que:
                  - une attestation de credit formation CNFCO de 10 points vous sera remise pour les formations validantes.
                  - le cout de la participation aux soirées est de 35 euros.(avec ou sans repas)


                  Lieu :  Moulin de Gemenos , 20h00  ,   apéritif de bienvenue
                                                                 
                                                                 20h30,    début de la conférence  , suivi des questions 
                                                                       21h30 ,    repas








                lundi 20 juin 2011

                LE POINT SUR LA SOIREE DU 15JUIN

                Petit résumé de ce qui c'est dit mercredi soir


                VERS UNE PARODONTIE SIMPLE ET EFFICACE :
                LES QUESTIONS DU PATIENT, LES REPONSES DU PRATICIEN
                François Laurent Dillier, Aix


                Les questions de nos patients sont simples : identifier leur problème , apprécier le risque de  perdre leurs dents, quel sera le traitement, les résultats seront-ils durables, et quel en est le coût.  Sans le savoir, ils ont établi le cadre de notre réponse : diagnostic, pronostic, plan de traitement et honoraires.

                Dès lors, la relation patient-praticien  doit surmonter 4 difficultés majeures

                1. expliquer la pathologie et la relier à l’état de santé général. Utiliser des indicateurs « qui parlent » au patient est essentiel, mais il faut aussi tordre le cou aux contre-sens et fausses informations dont nos patients sont si souvent convaincus. Faire passer le message du diagnostic demande un discours bien rodé et conditionne l’adhésion du patient à son traitement

                1. établir un pronostic revient finalement à évaluer le rapport risque/bénéfice avec ou sans traitement. Le pronostic est l’instrument qui permet de choisir  entre chirurgie parodontale ou non,  conservation ou extraction, et de valider des choix prothétiques. A ce stade il est important de connaître les indications et les taux de succès des différentes options de soins, pour arbitrer entre sous et sur traitement, entre gestes efficaces, inutiles ou délétères.

                1. démystifier un traitement, parfois chirurgical, souvent perçu comme contraignant voire effrayant. Les protocoles chirurgicaux en parodontie ont évolué depuis les années 80 vers plus de prévisibilité et moins de mutilations.. Préservation des papilles, prélèvements palatins en profondeur et régénération parodontale améliorent de façon significative  l’esthétique et le confort post-opératoire.

                1. présenter ses honoraires face à une nomenclature si dévalorisante qu’elle laisse à penser qu il n’y a pas de maladie parodontale en France! La question est rarement débattue, et pourtant…

                In fine, la réponse du praticien à son patient est un mélange d’expérience personnelle, de parti pris thérapeutique, de connaissances basées sur la preuve scientifique et de communication.

                 BONNES VACANCES A TOUS

                prochaine réunion à la rentrée le 21 septembre

                vendredi 20 mai 2011

                CONFERENCE DU MERCREDI 15 JUIN

                • Conférencier : DR FRANCOIS LAURENT DILLIER


                • Sujet :
                  VERS UNE PARODONTIE SIMPLE ET EFFICACE :
                  LES QUESTIONS DU PATIENT, LES REPONSES DU PRATICIEN
                 Les questions de nos patients sont simples : identifier leur problème , apprécier le risque de  perdre leurs dents, quel sera le traitement, les résultats seront-ils durables, et quel en est le coût.  Sans le savoir, ils ont établi le cadre de notre réponse : diagnostic, pronostic, plan de traitement et honoraires



                • Lieu :  Moulin de Gemenos , 20h00  ,   apéritif de bienvenue
                                                                 20h30 ,    intervention du DR JUANEDA , Président du conseil de l'ordre  départemental                                             
                                                                 20h45,    début de la conférence  , suivi des questions 
                                                                             21h30 ,    repas

                mercredi 20 avril 2011

                CONFERENCE DU MERCREDI 11 MAI

                Conférence du 11  Mai 2011   "attention c'est un mercredi"

                • Conférencier  Docteur  Fabrice Campana 

                                               

                Ancien Interne des Hôpitaux de Bordeaux
                Ancien Assistant des Hôpitaux de Bordeaux 











                • Sujet : Dermatologie buccale, de la simple affection au cancer de la cavité buccale.

                • Lieu :  Moulin de Gemenos , 20h00  , apéritif de bienvenue
                                                                 20h30 , début de la conférence  , suivi des questions
                                                                     
                                                                 21h30 , repas

                vendredi 15 avril 2011

                LE POINT SUR LA SOIREE DU 14 AVRIL

                 RESUME



                Le bruxisme fait peur, la peur de ce que l'on ne connaît pas, ou du moins, de ce que
                 l'on connaît mal. Il génère de surcroît un fort sentiment d’impuissance face aux
                 conséquences délétères que tout à chacun peut quotidiennement constater au niveau de
                 l'appareil manducateur.
                 Il en résulte une réaction défaitiste. En désespoir de cause, l'on a recours à un dispositif
                 inter-occlusal qui, s'il ne traite pas le bruxisme, est au moins sensé protéger, du moins
                 l'espère-t-on, les organes dentaires ou les artifices prothétiques. On peut aussi penser
                 que la gouttière est avant tout destinée à protéger le praticien sur le plan médico-légale ! 

                A la question : peut-on agir efficacement ? Délibérément, la grande majorité des praticiens refuse de s'interroger, laissant aux chercheurs le soin de tenter d'y répondre.
                Le clinicien doit pourtant s'efforcer de mieux comprendre le bruxisme pour mieux
                 anticiper les risques mécaniques par une stratégie prothétique adaptée, autrement dit il 
                doit s'efforcer d'accorder les capacités des prothèses aux contraintes susceptibles
                 d'être appliquées. Mais il doit aussi tenir compte des aptitudes des patients à une 
                rééducation comportementale, qui mérite sans aucun doute d'être expérimentée.
                Le bruxisme est d’origine centrale, c’est donc au système nerveux central (le cerveau)
                 qu’il faut s’adresser dans le but de diminuer ces activités manducatrices réflexes.

                Il est possible d’inciter notre patient à travailler sur son système nerveux central de
                 deux manières :
                -       induire un reconditionnement réflexe par l’apprentissage de l’enchaînement : posture de repos – déglutition- posture de repos ; cela veut dire répétition très fréquente de cette séquence en la déclenchant de manière passive par des alertes extéroceptives ;
                -       favoriser une meilleure " hygiène de vie " sur le plan des réactions au stress, pour 
                diminuer la "charge émotionnelle" acquise dans la journée, et obtenir des conditions de
                 sommeil plus pacifiées.

                Il ne s’agit pas de supprimer complètement le bruxisme dont bon nombre de mécanismes neurophysiologiques nous échappent, mais de nettement diminuer sa charge durant l’éveil, et de
                 réduire les « bouffées » de bruxisme de sommeil.
                 La gouttière occlusale peut alors être considérée comme un élément de renfort de
                 rééducation, car elle peut agir également comme une alerte proprioceptive. Cet effet
                 d’inhibition décroît très rapidement avec l’habitude du port aussi faut-il vraisemblablement avoir une véritable stratégie de réalisation et d’utilisation de la gouttière occlusale : matériau dur,
                 port nocturne discontinu, etc.

                Celui qui peut agir au mieux sur le bruxisme, c’est le patient lui même. Aussi la communication, les explications, le suivi (véritable coaching), sont sans aucun doute des éléments déterminants du
                 succès.

                 Il faut également disposer d’indicateur simple pour évaluer les progrès advenus. L’écoute des sensations matinales du patient, et la simple observation du vieillissement de la gouttière peuvent
                 être complétées par exemple par le système du BruxChecker® (Scheu dental).
                 
                Si le succès n’est pas garanti, en tout état de cause, ce n’est pas dans la passivité que nous en trouverons le chemin.



                samedi 2 avril 2011

                DR BERNARD MANTOUT , 14 avril 2011

                • Conférencier  Docteur Bernard Mantout
                                               

                Attaché dans le service de stomatologie a la timone











                • Sujet : Point de vue sur le bruxisme en 2011

                • Lieu :  Moulin de Gemenos , 20h00  , apéritif de bienvenue
                                                                    20h30 , début de la conférence  , environ 40mn, suivi des questions
                                                                     
                                                                    21h30 , repas

                • Le pitch
                                  Le bruxisme fait peur, la peur de ce que l'on ne connaît pas, ou du moins, de ce que l'on connaît mal. Il génère de surcroît un fort sentiment d’impuissance face aux conséquences délétères que tout à chacun peut quotidiennement constater au niveau de l'appareil manducateur. Il en résulte une réaction défaitiste. En désespoir de cause, l'on a recours à un dispositif inter-occlusal qui, s'il ne traite pas le bruxisme, est au moins sensé protéger, du moins l'espère-t-on, les organes dentaires ou les artifices prothétiques. On peut aussi penser que la gouttière est avant tout destinée à protéger le praticien sur le plan médico-légale ! 

                A la question : peut-on agir efficacement ? Délibérément, la grande majorité des praticiens refuse de s'interroger, laissant aux chercheurs le soin de tenter d'y répondre                                   
                 la suite jeudi soir........